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Sony relégué en catégorie spéculative par Moody’s

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Sony

L’agence de notation financière Moody’s a relégué lundi la note du géant japonais de l’électronique Sony en catégorie spéculative, à cause d’une rentabilité toujours à l’épreuve.

La note d’émetteur de dette de Sony ainsi que celle de ses obligations à long terme a été abaissée d’un cran à Ba1, avec une perspective stable, car le groupe a du mal à améliorer et stabiliser sa rentabilité, en dépit des avancées de la restructuration menée depuis des mois, a justifié l’agence.

Moody’s s’inquiète tout particulièrement des difficultés rencontrées par les activités de téléviseurs d’une part et de PC d’autre part, “toutes les deux soumises à une rude concurrence internationale, à des changements technologiques très rapides et à une obsolescence des produits” en quelques années.

“La rentabilité de Sony risque de rester faible et volatile”, prévient Moody’s qui juge que les activités centrales du groupe (TV, mobiles, camescopes, PC, etc) vont continuer de peser sur les comptes.

Sony a lancé sous la houlette de son PDG Kazuo Hirai une vaste restructuration dans la division des téléviseurs, ancrée dans le rouge depuis des années, ce qui a réduit les pertes de ses activités de produits audiovisuels grand public, mais l’agence estime que Sony aura du mal à renouer à court terme avec les profits élevés connus dans le passé.

Même si d’autres divisions génèrent des bénéfices, cela ne suffit pas à soutenir une notation supérieure, notamment parce que certaines activités rentables comme les appareils photo ne sont pas assurées de le rester autant.

Par ailleurs, même si grâce au lancement réussi à l’international de la console de jeu vidéo de salon Playstation 4, des gains sont attendus dans ce segment d’activité, ils ne reviendront pas à des niveaux connus autrefois.

Finalement, Sony est soutenu par les gains dégagés avec la musique et le cinéma, mais l’instabilité des activités rentables fait courir le risque que le délai avant de voir le groupe se remettre sur pied soit plus long qu’espéré.

Sony avait ramené début novembre à 30 milliards de yens (210 millions d’euros) contre 50 milliards son estimation de bénéfice net pour l’exercice d’avril 2013 à mars 2014.

Au lieu de 15 millions de téléviseurs, il n’en vendra probablement que 14. Le nombre de PC écoulés dans l’année a été abaissé à 5,8 millions au lieu de 6,2, le total d’appareils photo à 12 millions au lieu de 12,5 et les caméscopes à 2,3 millions plutôt que 2,5.

Même si le groupe a vendu des actifs à tour de bras ces derniers mois, il n’est pas parvenu à soigner le mal qui le ronge: une incapacité à suivre la fuite en avant concurrentielle imposée par des rivaux comme les sud-coréens Samsung ou LG Electronics.

Les résultats des neuf premiers mois de l’année et nouvelles prévisions seront annoncés le 6 février.

Crédits AFP


La CGEM invite 500 patrons maghrébins à Marrakech le 17 février

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CGEM

Le forum des entrepreneurs maghrébins tiendra sa 3e édition, les 17 et 18 février 2014 à Marrakech, à l’initiative de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) qui préside l’Union Maghrébine des Employeurs (UME).

L’objectif du forum, qui connaîtra la participation de 500 acteurs économiques et institutionnels des cinq pays du Maghreb, est de relancer l’intégration économique de l’Union du Maghreb Arabe (UMA), à travers une initiative du secteur privé, indique un communiqué des organisateurs, en ajoutant que cette édition annoncera la mise en place de “l’Initiative Maghrébine du Commerce et de l’Investissement (IMCI)”, véritable feuille de route pour l’intensification des échanges entre les 5 pays.

Au cours des deux jours que durera le forum, ce sont pas moins d’une cinquantaine d’intervenants des cinq pays du Maghreb, d’Afrique et d’Europe qui discuteront, en plénière, ou en ateliers thématiques de questions essentielles tels que le coût du non-Maghreb, l’intégration logistique, le Maghreb de l’énergie, l’emploi et le dialogue social intra-maghrébin, les services ou encore la convergence douanière et réglementaire.

L’UME a été créée le 17 février 2007 à Marrakech sous l’impulsion de l’Union du Maghreb Arabe (UMA). Elle se compose outre la CGEM, de la Confédération Algérienne du Patronat (CAP), du Conseil du Patronat Libyen (CPL), de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA) et de la Confédération Nationale du Patronat Mauritanien (CNPM).

L’UME vise à capitaliser sur l’exercice équilibré des échanges, en vue d’impulser une nouvelle dynamique aux économies des pays membres. Elle a également pour objectif de contribuer à la création et au développement d’un groupement économique régional aux capacités de négociation plus fortes face aux ensembles économiques extérieurs.

Dolidol renforce son réseau de distribution

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dolidol

Dolidol, société du groupe Palmeraie Holding et leader du secteur de l’ameublement et de la literie au Maroc, renforce ses canaux de distribution dans l’objectif de se rapprocher davantage de ses clients.

Dolidol  lance un nouveau réseau de magasins spécialisés dans la vente de produits de literie et de mousse. Quatre nouveaux magasins à Casablanca ont ainsi été ouverts. Ils sont situés dans les quartiers de Belvédère, Bourgogne, El Bernoussi et Sidi Moumen. D’ici fin 2014, plusieurs autres ouvertures sont prévues, à Casablanca, notamment à Derb Ghellaf, Errahma,  Deroua, ainsi qu’à Rabat et Marrakech.

 

L’objectif du nouveau réseau de magasins Dolidol est d’offrir un service de proximité et de qualité aux consommateurs marocains. Ces magasins commercialisent des  matelas, des sommiers, des banquettes à ressorts, des oreillers, et du linge de lit avec notamment les marques phares qui ont fait la réputation de la marque sur le marché, à savoir Kinédorsal et Super K.

Le concept des magasins se veut moderne avec un agencement sobre et des prix très compétitifs. Rappelons que Dolidol commercialise déjà ses produits à travers tout le royaume grâce à une flotte de 110 camions, 7 agences régionales, et un réseau de près de 800 revendeurs.

La marque Dolidol a été récemment doublement primée  à l’occasion de la 5e édition des Morocco Awards. Elle a été récompensée par le jury du « Prix de la Marque de Fabrique » et a également reçu le « Prix du Public » comme marque la plus appréciée par les consommateurs. Une double consécration pour Dolidol qui célèbre cette année son 40e anniversaire.

 

Dolidol confirme ainsi son statut de success story marocaine. Acteur majeur de l’économie nationale, avec une part de marché estimée à 45% en 2012,      l’entreprise a produit plus de 50 000 banquettes et matelas destinés aussi bien au marché domestique qu’à l’export.

Dolidol s’engage au quotidien dans une politique industrielle axée sur la qualité, la sécurité et l’environnement, seul moyen de préserver de manière durable et responsable l’activité de la filière. La certification ISO 9001 version 2008 obtenue par Dolidol permet de garantir la conformité de ses procédés aux standards les plus exigeants.

LNT
D’après le CP

CMH change de look et devient WINXO

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WINXO

CMH, l’héritière de la « société Anglo-Marocaine des Pétroles », créée en 1947 par le Groupe British Petroleum, change de look et devient aujourd’hui WINXO Group.

«Winxo est un groupe fait par des Marocains pour les Marocains», a déclaré Hassan Agzenai, Président fondateur de Winxo Group, lors de la conférence de presse qui s’est tenue mardi 28 janvier au Hyatt Regency.

Selon M. Agzenai, CMH a atteint ses limites à tous points de vue. Le logo, les couleurs ainsi que la dénomination ne reflétaient plus la réalité du groupe tel qu’il s’est transformé à travers le temps, «un groupe qui a décidé de se développer et de se diversifier dans de nouveaux métiers innovant, en dehors de son activité traditionnelle de distribution des produits pétroliers.»

Le groupe Winxo diversifie et étend ses investissements, en particulier à la construction, sur un terrain de 22 hectares à Jorf Lasfar, du plus grand terminal d’importation, de stockage et d’exportation de carburants du Maroc, d’une capacité de 600 000 m3. Ceci représente un accroissement de plus de 50% des capacités totales actuelles de stockage de carburants du pays (hors raffinerie). Parmi les projets figurent aussi la réalisation, en cours, à Casablanca de lotissements industriels, ainsi que de projets immobiliers à travers le pays, de même que la réalisation d’un nouveau centre emplisseur de gaz à Mohammedia.

L’enveloppe globale des nouveaux investissements du groupe dépasse les 3 milliards de dirhams.

Winxo occupe la 22ème place au classement des 500 plus grandes entreprises marocaines, affichant un chiffre d’affaires de 4,7 milliards de DHS, un réseau de 200 stations-service ainsi que d’importantes infrastructures de stockage et de transport.

Actuellement, la part de marché de Winxo en distribution pétrolière est de 8%. Le groupe a déployé d’énormes efforts pour former ses 1200 pompistes, dans le but d’assurer une meilleure qualité de service, et passer ainsi à 12% de parts de marché dans les quatre ans à venir.

Parallèlement, le Groupe a créé la «Fondation Winxo Solidarités». Née de la liberté de choix, cette fondation «le complète et contribue à lui donner tout son sens». Une partie significative de la marge nette dégagée par les ventes de produits pétroliers de WINXO Group sera systématiquement affectée par les actionnaires à sa Fondation.

AL

Auto : Hyundai Maroc développe son réseau avec 5 nouveaux sites

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Hyundai

Hyundai Maroc a annoncé l’ouverture de 5 nouveaux sites à Rabat, Tanger, Tétouan, Safi et Chichaoua. L’entreprise compte générer plus de 1200 nouvelles ventes, aussi bien sur le marché des véhicules particuliers que sur celui des utilitaires. Le chiffre d’affaires global prévisionnel pour les nouvelles concessions devrait atteindre les 160 millions de Dhs en 2014. « Notre offre couvre pratiquement tous les segments du marché automobile  et notre réseau de distribution s’étend sur la majeure partie du territoire national. Avec les nouvelles concessions et succursales, notre ambition est d’étendre encore davantage notre présence géographique, mais aussi nous rapprocher de nos clients et prospects afin d’anticiper leurs besoins et y répondre avec une offre adaptée », a déclaré Zineb Oukacha, Directrice Marketing et Communication de Hyundai Maroc. « Dans les prochaines années, nous continuerons à renforcer notre assise pour être toujours plus proches de nos clients », a-t-elle précisé.

A Tanger, Hyundai Maroc a choisi de s’implanter directement avec une nouvelle succursale en ouvrant le plus grand site automobile de la région Nord. La succursale offre une capacité d’accueil de 120 véhicules et un showroom permettant d’en exposer 13. Elle dispose d’un atelier SAV ainsi que d’un magasin pour pièces de rechanges et des locaux administratifs.

Rabat accueille une nouvelle succursale dédiée aux véhicules utilitaires sur une superficie globale de 2680 m2 comprenant showroom, atelier et magasin de pièces de rechange. La concession de Safi dispose d’un showroom de 300 m?, un atelier de 200 m?, un magasin de 80 m? et offre une capacité d’exposition de 10 véhicules. La concession de Chichaoua se dote d’un showroom de 400 m?, un atelier SAV de 700 m?, un magasin de 60 m? et 12 véhicules en exposition.

Hyundai Maroc conserve sa place dans le top 5 des marques en termes de ventes. Avec cette nouvelle extension de son réseau commercial, elle poursuit son ambition d’apporter plus de valeur ajoutée aux clients.

Le Président Macky Sall visite le pôle urbain Chwiter

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Le Président du Sénégal, Monsieur Macky Sall, a visité lundi 26 Janvier 2014, accompagné d’une importante délégation sénégalaise, le pôle urbain Chwiter.

Cette visite arrive quelques mois après la signature d’un protocole d’accord entre le Groupe Alliances et le Gouvernement sénégalais portant sur la réalisation d’un méga pôle urbain à Dakar.

Le Président sénégalais a ainsi pu visiter les différentes composantes immobilières de Chwiter, (logements sociaux, appartements moyen standing, et villas moyen standing) réalisées ou en cours de réalisation par le Groupe Alliances. Cette visite a également permis à la délégation sénégalaise de constater la qualité des équipements, des aménagements et des finitions, ainsi que l’expertise confirmée du Groupe Alliances dans le développement de projets d’envergure.

Le gouvernement sénégalais avait confié la réalisation du méga pôle urbain de Diamniadio à Alliances. Situé dans la périphérie de Dakar, celui-ci s’étendra sur une superficie 1900 hectares. Le Groupe Alliances est en charge du développement d’une superficie de 375 hectares à réaliser en 4 phases sur une période de 6 à 8 ans.

Le plan d’aménagement de ce Méga pôle prévoit la construction de 40 000 logements s’inscrivant dans une logique de mixité sociale (logements sociaux, logements intermédiaires, immobilier haut standing). Outre la composante immobilière, ce programme est amené à devenir une zone d’activité multi fonctionnelle incluant des commerces, des ensembles artisanaux, écoles, des équipements publics, culturels et hôteliers ainsi que des espaces dédiés aux sports et aux loisirs et de nombreux espaces verts.

Ce nouveau pôle urbain s’inscrit dans la politique de logements initiée par l’Etat sénégalais pour la résorption du déficit important en logements s’élevant à 125 000 unités pour la seule région de Dakar. Dans ce cadre, l’Etat sénégalais pour lequel l’habitat est une priorité a fait appel à l’expertise reconnue d’Alliances dans le développement de pôles urbains d’envergure.

LNT

Impôts : Pas de changement pour les petits commerçants

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Driss-El-Azami-El-idrissi

Le ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des finances chargé du Budget, M. Driss Azami Al-Idrissi a écarté définitivement tout changement dans les modes de calcul des taxes imposables aux petits commerçants et artisans, précisant que cette catégorie ne “connaitra aucuns augmentation, changement ou contrôle du point de vue fiscal”.

Le ministre, qui répondait mardi à une question orale à la chambre des représentants sur “les inquiétudes suscitées par l’article 145 bis de la loi de finances 2014″, a indiqué que ces nouvelles dispositions concernent “les grands commerçants et artisans, qui n’ont rien à voir avec le système forfaitaire”.

Le gouvernement, a-t-il assuré, “soutient les petits commerçants et artisans et ne peut pas mettre en oeuvre des dispositions qui leur portent préjudice, augmentent leur imposition ou leur imposent des restrictions puisque qu’ils jouent un rôle vital dans le succès des programmes liés au commerce de proximité et aux activités vitales pour le tissu économique et pour la création d’emplois.

“Soyez assurés que vous ne ferez pas l’objet de nouvelles taxes, de nouvelles impositions ou de contrôle et vous ne connaitrez aucune augmentation d’impôts”, at-il dit à l’adresse de cette catégorie, ajoutant que le gouvernement va maintenir leur système “incitatif et simplifié contrairement aux informations véhiculées”.

Les mesures annoncées dans l’article 145 “visent en premier lieu et avant tout les fraudeurs qui ne paient pas leurs taxes dans le cadre de la justice fiscale et de la solidarité nationale”. En l’absence de procédures de contrôle, cette catégorie paie des taxes sans rapport avec ses gains, a-t-il déploré, en affirmant que ces individus se cachent derrière ceux “pour qui ce système forfaitaire a été créé”.

S’agissant de l’obligation de “tenir un registre” pour les bénéficiaires du système forfaitaire, M. Azami Al-Idrissi a indiqué que les chiffres d’affaires des personnes concernées ne doit pas dépasser un million de dh pour les activités commerciales (moins de 2.800 dh) et 250.000 DH pour les prestataires des services (moins de 700 DH).

Le gouvernement a reporté d’un an l’application de cette mesure, qui entrera en vigueur le 1 er janvier 2015, afin de laisser suffisamment de temps à l’ouverture de consultations sereines responsables et productives, a-t-il fait savoir, en soulignant la nécessité de profiter de la période actuelle pour préparer un texte réglementaire concernant la tenue du registre, sur la base d’une approche participative et en concertation avec toutes les parties prenantes, en vue de faciliter la mise en oeuvre des dispositions de l’article.

La BERD investit 3,6 millions d’euros pour le développement de Citruma

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Citruma
La société Citruma, propriétaire de la marqué «Marrakech», a annoncé lundi 3 février lors d’une conférence de presse, la signature d’une transaction avec la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD).

Cette opération, qui consiste en un financement de 3,6 millions d’euros, est le premier investissement mezzanine réalisé par la BERD dans la région SEMED. Elle a pour objectif de participer à l’expansion de Citruma et d’appuyer son plan de développement qui vise à augmenter la consommation de jus.

Ce financement s’inscrit dans le cadre du lancement par Citruma d’un ambitieux plan de développement d’environ 60 MDH. Ce programme, qui s’accompagnera d’un apport en fonds propres de la part des actionnaires de Citruma, permettra à la société de moderniser son outil de production à travers l’acquisition de nouvelles lignes de conditionnement, et de sécuriser un fonds de roulement supplémentaire pour soutenir son développement. Il lui permettra également d’élargir la gamme de produits de sa marque «Marrakech» et de renforcer ses capacités en matière de distribution.

En effet, la famille «Marrakech» s’agrandit et accueille un nouveau format, celui du 200 ml. Le «mini kech» se décline en plusieurs saveurs et s’adresse principalement aux jeunes qui représentent sur le marché les plus gros consommateurs des jus de fruits emballés. Avec un prix de 3 DH pour le nectar et 4 DH pour le pur jus, l’entreprise élargit sa cible à travers un produit plus accessible.

Les jus Marrakech renforcent ainsi leur présence dans un segment qui représente plus de 20% du total du marché des jus, incluant le frais, selon les études du cabinet international Nielsen.  Le lancement de ce nouveau format sera accompagné par une vaste campagne de marketing direct et de communication, et a suscité une enveloppe d’environ 20 millions de dirhams, selon M. Fodil Cherif, cofondateur et directeur général de Citruma.

En  2013, Citruma a vendu 14 millions de litres de jus, détenant ainsi 80% des parts de marché sur le segment Pur Jus, et 17% sur le segment Nectars.

Rappelons que la marque « Marrakech » est présente dans 20 pays dans le monde, notamment en Russie, en Europe, en Amérique du Nord, et dans l’ensemble du Maghreb Arabe.

 

AL


Audi A3 s’offre un design ultra léger

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Audi3

 

La CAC (la Centrale Automobile Chérifienne), représentant de la marque allemande Audi au Maroc, vient de lancer la nouvelle Audi A3. Il s’agit de la première berline d’Audi dans la gamme des compactes Premium qui bénéficie d’un design ultraléger, d’un système de transmission puissant et de toute une panoplie de nouvelles technologies et d’aides à la conduite. L’intérieur de cette 4 portes reste raffiné et simple. Caractéristique Audi, les commandes de contrôle sont simples et intuitives. Le coffre de 425 litres peut être augmenté grâce à des sièges arrière rabattables. Au menu mécanique, trois motorisations : deux TDI et un TFSI. Ils présentent respectivement des cylindrées de 1.6, 2 et 1.8 litre et disposent d’une puissance allant de 105 à 180 chevaux. Ces trois moteurs ont été remaniés pour combiner puissance et faible consommation de carburant. La version haut de gamme est représentée par la S3 Berline avec 221 kW (300 ch). Sera également disponible la version quattro avec 4 roues motrices. Sur commande, l’A3 Berline peut être dotée du « Audi Drive Select » (de base sur la ligne Ambition). Les prix  démarrent à partir de 314.000 Dhs…

H.Z

La nouvelle Citroën C4 Picasso se dote d’un 5 & 7 places

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picasso

Citroën Maroc vient d’annoncer le lancement officiel du nouveau Citroën C4 Picasso 5 & 7 places. Ce nouveau Technospace est un concentré de la Créative Technologie de Citroën et marque un changement d’époque grâce à un design expressif  avec des lignes dynamiques, et des projecteurs technologiques complétés par des feux arrière à LEDs à effet 3D,  inspirés des derniers concepts cars de la marque. L’intérieur est traité dans un esprit loft avec une ambiance épurée et lumineuse et des matériaux qui contribuent à un bond en qualité perçue.

Il permet de voyager en première classe et propose un siège Relax avec extension confort pour les jambes. Ce nouveau modèle est doté de nouvelles technologies, dont une interface de conduite 100 % tactile associée à un écran panoramique 12’’ haute définition. De plus, d’autres innovations sont au menu, pour une conduite détendue et facile avec le Park Assist, ou encore le régulateur de vitesse actif et les ceintures de sécurité actives.

Une gamme de ‘‘moteurs optimisés’’ propose toujours plus d’efficience, avec notamment une version à 98 g/km de CO2, un record dans la catégorie. Le nouveau Citroën C4 Picasso se veut également un concentré de technologies au service de l’anticipation et de l’assistance pour une conduite toujours plus sûre et sereine, notamment un système de régulation de vitesse actif, utilisant un radar situé dans le bouclier avant, qui détecte et alerte de tout ralentissement du véhicule situé devant, et maintient un écart constant en agissant sur l’accélérateur et le frein moteur dans une limite de plus ou moins 25 km/h. Une fois la route dégagée, la voiture revient automatiquement à la vitesse de consigne.

Les  ceintures de sécurité actives du conducteur et du passager avant sont équipées de moteurs qui tendent la ceinture automatiquement en cas de danger pour une protection maximale. Les prix de commercialisation démarrent à 300 000 Dhs…

H.Z

La RSE dans l’ADN de la Lafarge Maroc !

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M.-Saâd-Sebbar,-ADG-de-Lafarge-Maroc

 

Si Lafarge Maroc est connu, en matière de communication, pour ses sorties lors des présentations de résultats financiers, le cimentier demeure  peu loquace en ce qui concerne ses engagements dans le domaine de la Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE), devenu pourtant un enjeu en matière de communication sous d’autres cieux. Pourtant, le Groupe est très fortement engagé,et  depuis longtemps, dans une démarché de croissance responsable et durable aussi bien au profit de ses clients, collaborateurs et actionnaires qu’envers les communautés locales qui accueillent ses différents sites.

Ces démarches ont été récompensées par plusieurs distinctions, dont le Label de la CGEM pour la RSE et le Trophée Vigeo «Top Performer Maroc» que Lafarge Maroc a décroché lors des deux dernières éditions dans deux domaines différents. En 2012, Vigeo avait attribué cette distinction au Groupe sur la base des «Critères de respect de la liberté syndicale, de la promotion du droit de la négociation collective et du dialogue social» et pour 2013, la distinction est venue saluer le rôle du cimentier dans le domaine de la «Formation, amélioration des compétences et employabilité». Elle récompense l’engagement du Groupe dans le développement de son capital humain en accordant des investissements importants aussi bien au profit des collaborateurs que des clients, et sous-traitants et en facilitant l’employabilités des jeunes riverains grâce à des formations ciblés (maçonnerie, menuiserie, etc.).

 

2 ème distinction Vigéo

Ainsi, cette nouvelle distinction Vigeo traduit l’engagement du Groupe en matière de RSE et de développement durable et reflète sa volonté d’agir en industriel responsable qui respecte ses communautés environnantes et l’environnement.

Au-delà de ces distinctions, le Groupe demeure fortement impliqué dans son environnement immédiat. L’objectif est de contribuer efficacement à l’amélioration des conditions de vie de riverains (désenclavement, accès à l’eau potable, lutte contre l’habitat insalubre, etc.), favoriser l’accès à l’éducation de leurs enfants, encourager la promotion de la culture et de l’emploi (insertion et formation, favoriser l’employabilité, etc.), sensibiliser à la protection de l’environnement, etc. D’ailleurs, pour sa nouvelle unité programmée dans la région du Souss, Lafarge Maroc a pris les devants, selon M. Saâd Sebbar, Administrateur Directeur Général de Lafarge Maroc, lors d’un point de presse, en allant à la rencontre des riverains de la future unité afin de s’enquérir de leurs difficultés quotidiennes, de leurs attentes vis-à-vis du Groupe et bien évidemment afin de leur expliquer les retombées potentielles de l’installation de Lafarge au niveau de leur région. Cette démarché anticipatrice, qui implique les communautés, permet de tisser des relations durables basées sur une confiance réciproque.

Au-delà, la démarche socialement responsable et citoyenne du Groupe ne concerne pas uniquement les communautés riveraines, elle est multiforme : santé & sécurité, protection de l’environnement (réhabilitation des carrières, incinération des déchets, etc.), gouvernance, construction durable, etc.

 

Logement social durable

Ainsi, dans le domaine de la construction durable, et partant des multiples défaillances constatées dans certaines constructions, notamment au niveau de l’auto-construction et de certains programmes de logements sociaux, Lafarge Maroc s’implique avec une nouvelle approche, qui prend source dans les besoins des différents acteurs des logements sociaux (promoteurs, bureaux d’études, architecte, constructeurs, etc.). Suite à des entretiens et visites de chantiers, elle a développé une offre adaptée aux besoins de ces acteurs. Les améliorations apportées concernent aussi bien  la qualité de construction, que la réduction des délais, le renforcement de l’étanchéité des bâtiments et la réduction du coût global de construction. Ainsi, Lafarge apporte une solution globale aux promoteurs engagés dans le logement social, avec des produits à base de ciments, de béton et de plâtre. Deux projets pilotes seront lancés pour réaliser prochainement 3 000 logements répondant aux normes de qualité et de durabilité.

Sur un autre registre, Lafarge Maroc, dans le cadre de sa politique de protection de l’environnement et de développement durable, compte investir dans une décharge publique en partenariat avec une commune. Le cimentier investira dans le tri et la préparation des déchets au niveau de la décharge. Les déchets préparés seront incinérés dans les fours du cimentier sous forme de combustible. Cela permettra de réduire davantage la demande énergétique du cimentier, qui fait déjà fonctionner son unité de Tétouan avec 100 % d’énergie propre (énergie éolienne).

Ces différentes actions rentrent dans le cadre du programme «Ambitions Développement Durable 2020», lancé en 2012, qui engage le leader du secteur du ciment sur trois volets : social, économique et environnemental. Celui-ci fait partie de la déclinaison des 5 ambitions du Groupe : Santé et sécurité, Construction de villes meilleures, Compétitivité et excellence industrielle dans le respect de l’environnement, Enjeux des parties prenantes et Stratégie de développement ambitieuse.

 

Moussa Diop

Bouskoura Golf City, livraison totale et définitive à la fin 2016

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bouskoura golf city

Lancé en 2009, Bouskoura Golf City, une réalisation de Prestigia, filiale haut de gamme du groupe Addoha, sera définitivement prêt dans trois ans. L’annonce vient en effet d’être faite. Et c’est le DG de Prestigia, Jawad Ziyat qui l’affirme : ‘‘Bouskoura Golf City, un programme intégré de 2.600 unités qui s’étend sur une superficie globale de 220 ha, sera livré à 100 % à fin 2016’’. Et de poursuivre dans le même sens que le rythme des travaux se poursuit dans des meilleures conditions, arguant que 800 permis d’habiter ont été obtenus, plus de 300 familles y habitent déjà et 84 % du résidentiel, soit 2169 unités, ont été vendus.

Rassurant, Jawad Ziyat a annoncé également l’ouverture prochaine d’un ensemble de services de proximité, notamment la mis en place d’un SAV en ligne opérationnel qui a déjà reçu 140 réclamations dont 76 sont traitées et 62 en cours depuis son lancement le 7 octobre 2013. Un supermarché Acima Premium de 700 m2 est au menu également. Le Golf de 18 trous sera ouvert le mois de mai prochain. Le restaurant du Club House du site a été confié à Resto Pro. L’école Jules Ferry va aussi s’y installer. L’échangeur Casa –Steak dont les travaux ont démarré en avril 2013, sera prêt d’ici fin 2014. Cette plateforme sera l’accès principal à partir de l’autoroute à la zone d’urbanisation de la nouvelle ville de Bouskoura. Un hôtel 5 étoiles toujours en attente d’acquéreur, une clinique, une mosquée d’une capacité de 650 personnes font également partie du projet.

Par rapport à la conjoncture actuelle marquée par un tassement des transactions immobilières, Jawad Ziyat, affirme que le rythme des ventes n’a pas atteint des seuils inquiétants. En un mot, la courbe des ventes se maintient conformément au business-plan initial, dit-il, entre autres. Et de reconnaître dans le même sens qu’il est tout à fait normal que des grands projets pareils connaissent au fil du temps de multiples imprévus entravant leur cours.

Tel est le grand défi, souligne-t-il, à surmonter et à gérer avec toute la détermination nécessaire pour le respect des engagements pris de part et d’autre. Le patron de Prestigia préfère quand même rappeler que ‘‘l’acte d’ouvrir une nouvelle zone à l’urbanisation est un exercice compliqué où plusieurs paramètres et imprévus entrent en jeu’’…

H.Z 

 

Encadré : 

Prestigia, l’état des lieux 

 

Arrivé sur le marché haut de gamme en 2009 à travers six programmes, Prestigia a réussi la commercialisation de 8.500 unités en 5 ans. D’un volume global de 25.000 unités réparties sur une superficie de 1.200 ha, elle a écoulé 35 % et livré 5.000 unités. Pour l’heure, 2.000 unités (appartements et villas) sont en cours de construction dans 5 villes.

 

Encadré : 

Du compromis de vente 

Dans le cas de non-respect de l’engagement du client par rapport aux conditions fixées par le compromis de vente, en cas de désistement ou refus de paiement, Prestigia recourt à la justice pour la résiliation du dit compromis, ce qui fait donc l’objet d’une décision de justice. Cela implique la restitution de l’apport initial au client avec la déduction de 10 % du montant global de la transaction en pénalités de retard. Jusqu’à présent Prestigia a procédé à 10 résiliations de compromis de vente (70% sur des villas et 30% sur des appartements).

L’Oréal rachète 8% de son capital à Nestlé

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TT

Le leader mondial des cosmétiques L’Oréal a annoncé mardi l’acquisition de 8% de son capital détenus par son grand partenaire suisse Nestlé, sans avoir à toucher au trésor de guerre représenté par sa participation dans les laboratoires pharmaceutiques Sanofi.

Ce projet d’”opération stratégique”, qui porte sur 48,5 millions de titres, a été approuvé à l’unanimité par les conseils d’administration des deux groupes réunis la veille, ont précisé Nestlé et L’Oréal dans un communiqué commun.

L’opération sera financée par la cession de la part de L’Oréal de 50% dans Galderma, la société commune formée avec Nestlé dans la dermatologie (valorisée 3,1 milliards d’euros) et par une soulte en numéraire de 3,4 milliards d’euros.

Les deux parties ont retenu dans leurs calculs un prix de l’action L’Oréal correspondant à la moyenne des cours de clôture entre le lundi 11 novembre 2013 et le lundi 10 février 2014, soit 124,48 euros.

 

Avant la fin du premier semestre

 

Les actions rachetées seront annulées, ce qui aura un impact relutif de 5% dès la première année sur les résultats de L’Oréal et fera monter la participation de la famille fondatrice, les Bettencourt, de 30,6% à 33,1%. En revanche, la part de Nestlé descendra de 29,4% à 23,29%, ce qui entraînera la réduction de sa représentation au conseil d’administration de L’Oréal de 3 à 2 membres, selon le communiqué commun.

La transaction pourrait être réalisée avant la fin du premier semestre.

Les marchés s’attendaient depuis longtemps à une opération de ce type dans la mesure où le droit de préemption réciproque, qui liait depuis des décennies Nestlé et la famille Bettencourt, arrivait à échéance en avril.

L’Oréal souligne que cette opération s’effectuera sans qu’il n’ait à toucher au trésor de guerre représenté par sa participation historique dans Sanofi, puisque la partie “cash” de l’opération sera financée sur les ressources propres du groupe et l’émission de dette à court terme.

Le groupe français dispose donc toujours des munitions nécessaires pour racheter, si nécessaire, le solde de la participation du Suisse à son capital.

“A la suite de l’allègement de sa participation dans L’Oréal, Nestlé continuera d’apporter son appui au développement de l’entreprise à laquelle il est associé depuis 40 ans”, a assuré le groupe suisse.

“Dans cet esprit, Nestlé restera de concert avec la famille Bettencourt Meyers et les accords existants tels qu’adaptés à la nouvelle situation continueront à s’appliquer”, ajoute le texte.

LNT/AFP

Du Coca-Cola à faire soi-même à la maison ?

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Face à une érosion de ses ventes de sodas, Coca-Cola vient de faire une entrée fracassante sur le marché des machines à boissons faites maison et prévoit un “blitzkrieg” commercial pour rattraper son retard.

Le fabricant de Fanta et Sprite a dégainé 1,25 milliard de dollars la semaine dernière pour s’allier à son compatriote Green Mountain Coffee Roasters, fabricant des cafetières et capsules Keurig, qui va lui monter une machine à sodas.

Celle-ci sera dans un premier temps vendue aux Etats-Unis à partir de fin décembre, ensuite commercialisée en Europe dans un second temps. Pour l’instant, aucun prix n’a encore été fixé.

Un “pari sur l’avenir”

“C’est une opportunité importante pour nous”, confie Ben Deutsch, un porte-parole du groupe d’Atlanta.

“Coca-Cola parie sur l’avenir”, commente à l’AFP Gary Hemphill, dirigeant de la société spécialisée Beverage Marketing Corp. “Il fait le pari que de plus en plus de consommateurs vont fabriquer leur boisson avec leur propre machine”.

Pour le consultant de CNBC Jeff Mackee, Coca-Cola “ne prend jamais à la légère les menaces pour sa compétitivité”, au moment où la start-up israélienne SodaStream, qui domine ce marché depuis plus de trois ans a vu ses ventes exploser. Elles ont quintuplé en quatre ans, passant de 140 millions de dollars en 2009 à 562 millions l’an dernier. Il mise sur le milliard dans deux ans.

Devant ce succès inattendu, le géant d’Atlanta va jouer sur sa puissance marketing et l’étendue de sa gamme de produits.

Outre ses sodas, il entend permettre aux consommateurs de fabriquer chez eux leurs propres thés Gold Peak et Honest, leurs jus de fruits, leurs boissons énergisantes Nalu Energizer, Powerade et Aquarius) et leurs eaux pétillantes Dasani.

Sans dévoiler de chiffres, Coca-Cola se dit prêt, selon M. Deutsch, à investir “de façon appropriée” dans ce secteur.

Il faut dire que le géant de l’alimentation doit parer au plus vite à une baisse continue de ses ventes de boissons gazeuses en Amérique du Nord et en Europe, ses premiers marchés. Au troisième trimestre 2013, son chiffre d’affaires a reculé de 2% sur un an à 12,03 milliards de dollars.

“Nous voulons répondre aux besoins grandissants des consommateurs pour une variété de boissons”, lance M. Deutsch.

Coca comme Nestlé avec Nespresso

Si le rival historique Pepsico n’a pas encore réagi, la communauté financière spécule sur une annonce dans les prochains jours, les deux groupes s’étant toujours marqués à la culotte.

“Dans ce secteur, à chaque fois que l’un des deux géants (Coca-Cola et Pepsico) a pris une grande décision, il y a eu une réaction au moins de même ampleur de la part de l’autre”, assure M. Hemphill.

La réaction pourrait prendre la forme d’un rachat d’une part de SodaStream, dont l’action a flambé à Wall Street ces derniers jours sur ces spéculations.

Contacté par l’AFP, Pepsico a dit ne pas faire de commentaire. SodaStream n’a pas donné suite aux sollicitations de l’AFP.

Plus que le prix – à peine quelques centimes de dollars de différence avec une cannette de soda – c’est le changement des habitudes de consommation et les campagnes publiques de sensibilisation sur les dangers des sodas pour la santé qui expliquent cette décision stratégique de Coca-Cola, selon les analystes. Ils citent entre autres la campagne ”Let’s Move!”, dont l’ambassadrice n’est autre que la First Lady, Michelle Obama.

SodaStream l’a d’ailleurs compris et exploite pleinement le filon de la bonne conscience et le côté écolo, avec des slogans comme “Savez-vous combien il y a de sucre dans vos sodas ?”, “Avec Sodastream, vous pouvez sauver 2.000 bouteilles par an” ou encore “Si vous aimez les bulles, libérez-les”.

Si les boissons individuelles ne représentent pour l’instant que 1% du marché des boissons non alcoolisées, selon Beverage Marketing Corp., elles pourraient connaître le même boom que les capsules de café.

LNT / AFP

Prolainat Maroc obtient son agrément sanitaire

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prolainat maroc

Prolainat Maroc, l’unité de fabrication et de transformation  du groupe Copralim, a obtenu l’agrément sanitaire numéro « LPL.7.22.13 », suivant les dispositions de la loi 28-07 relative à la sécurité sanitaire des produits alimentaires lors d’une cérémonie officielle organisée par l’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires.

Fort d’une expérience de plus de 20 ans dans l’importation, la transformation et la distribution des produits agroalimentaires en général et les produits laitiers en particulier, Copralim est devenu un acteur majeur du marché agroalimentaire marocain.

Ainsi le développement de Copralim prend une autre dimension avec la création de Prolainat Maroc sous l’impulsion de M. Bendaou, PDG du groupe.

Prolainat Maroc est spécialisée dans la production de fromage fondu et de beurre sous la marque Or Blanc. L’unité dispose de machines de production de pointe, dont la ligne dédiée au fromage en tranches, individuellement emballées, qui est une première au Maroc.

«Prolainat Maroc s’est vu récompensée de ses efforts. Notre mission de satisfaire notre clientèle, nous engage à offrir des produits de qualité irréprochable, ainsi nous nous soumettons aux normes nationales et internationales les plus strictes en terme de sécurité alimentaire», affirme M. Abderrahim Bendaou, PDG du groupe.

« De plus, notre groupe dispose de moyens humains et matériaux importants, facilitant la gestion des produits dans un contexte optimal pour préserver un niveau de qualité idéal », ajoute-t-il.

S’appuyant sur la loi n°28-07 relative à la sécurité sanitaire des produits alimentaires, l’ONSSA a octroyé 15 agréments sanitaires à des organismes marocains, parmi lesquels figure la société Prolainat Maroc, qui adopte une approche moderne en matière de sécurité et traçabilité des produits agroalimentaires.

L’agrément sanitaire de l’ONSSA qualifie les organismes ayant mis en place  des démarches pour garantir la sécurité sanitaire des produits commercialisés. Ces derniers détaillent et mettent en pratique ainsi leur « plan de maîtrise sanitaire » : bonnes pratiques d’hygiène et système de traçabilité…

LNT
D’après le CP


Joël Sibrac, past Président : La CFCIM, une contribution efficace et pérenne à l’économie marocaine

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sibrac

Alors que M. Jean-Marie Grosbois, PDG des Brasseries du Maroc, vient de prendre la présidence de la Chambre Française de Commerce et d’Industrie du Maroc, CFCIM, son prédécesseur, M. Joël Sibrac, dresse pour nos lecteurs le bilan d’un mandat de trois ans à la tête de cette institution qui est aujourd’hui la plus importante des chambres françaises de commerce et d’industrie de par le monde.

 

La Nouvelle Tribune :

M. Sibrac, vous avez passé trois ans à la présidence de la CFCIM, pouvez-vous expliquer à nos lecteurs le rôle de la Chambre française au Maroc ? Est-elle uniquement au service des entreprises françaises installées dans notre pays ?

Joël Sibrac :

La Chambre Française de Commerce et d’Industrie du Maroc est sans nul doute unique pour des raisons historiques, c’est la plus importante des Chambres françaises installées à l’étranger de par le monde. Effectivement, en général, le rôle prioritaire des Chambres françaises consiste à s’occuper des entreprises françaises, mais dans le cas du Maroc, 80 % de nos adhérents sont des entreprises à capital totalement ou

majoritairement marocain. Ainsi, nous sommes au service des entreprises adhérentes de la CFCIM, soient-elles marocaines ou françaises. Certes, nous accueillons
les entreprises françaises qui arrivent au Maroc, dans le cadre notamment de notre délégation de service public d’Ubifrance, en leur fournissant une aide pour s’installer, mais nous accompagnons également nos entreprises adhérentes qui sont nombreuses à être marocaines, en leur facilitant les rencontres d’affaires en Europe en particulier, voire même pour s’implanter en France. Dans cet objectif, nous avons organisé en 2013, 40 journées Maroc dans les différentes Chambres de Commerce en France. Et il est prévu d’organiser cette année à Casablanca, pour les potentiels investisseurs marocains, une journée « Investir en France ».

 

 

Quelles sont les obligations des entreprises qui adhérent à la CFCIM ?

 

Il n’y a pas d’obligations en dehors de celle de justifier de leur nature juridique, donner leur bilan pour que l’on dispose des informations financières nécessaires pour la chambre, moyennant quoi elles disposent de toute une gamme de services mis à leur disposition au Maroc, mais aussi à l’étranger grâce au réseau des Chambres françaises de Commerce pour traiter avec un pays étranger, profiter du réseau des conseillers économiques et du commerce extérieur français, ainsi que de celui d’Ubifrance.

 

Cet accompagnement des entreprises marocaines, pour s’installer en France, est un service que les entreprises utilisent de plus en plus, aujourd’hui, même si cette
possibilité mérite d’être encore développée, c’est pourquoi nous préparons la journée « Investir en France ».

 

Les services que vous dispensez sont-ils gratuits ?

 

Ils ne le sont pas dans tous les cas. Certaines demandes d’informations préliminaires, que nous détenons, sont délivrées à titre gracieux, mais dès qu’elles deviennent
particulières et portent par exemple sur un test sur l’offre, sur des produits
distribués au Maroc ou une étude de marché, nous y répondons avec nos compétences en interne et c’est payant.

 

De surcroît, la CFCIM est organisée en Commissions qui permettent à nos membres d’échanger sur nombre de sujets et bénéficier de leurs expériences respectives.

 

La Commission Economique et Financière, présidée par Mohamed Berrada, reçoit des intervenants extérieurs sur des sujets économiques divers et en relation avec l’actualité.

 

La Commission Juridique, Fiscale et Sociale permet aux responsables d’échanger sur les problèmes qu’ils rencontrent, par exemple en matière de fiscalité ou sur la Loi de Finances.

Et la Commission Appui aux Entreprises et celle Enseignement, Formation et  Ressources Humaines répondent aux questions spécifiques inhérentes à ces

thématiques.

Même si nos services ne sont ni directement adossés ou dispensés par les Commissions, le travail de ces dernières constitue un plus pour les entreprises membres de la Chambre.

CFCIM

 

Concrètement, quels sont les catégories dans lesquelles les services de la chambre sont distribués ? 

Je voudrais préciser que nos services sont particulièrement adaptés à la PME sachant que l’essentiel de nos 4000 entreprises adhérentes sont des PME.

Bien sûr, il y a toutes les entreprises françaises du CAC 40, les grands groupes, mais la majorité des entreprises reste des PME. Toute entreprise n’appartenant pas à un grand groupe français ou marocain est pour nous une PME représentative du tissu entrepreneurial.

Nous avons donc cinq catégories de services. La première est dédiée à l’appui des entreprises qui arrivent au Maroc et qui peuvent nous demander de nous occuper de toutes leurs formalités d’implantation. On a ainsi créé 50 sociétés en 2012 et une quarantaine en 2013.

UBIFRANCE est un second service que nous prodiguons au nom de l’Agence

française pour le développement international des entreprises, une entité publique dont nous sommes délégataires. C’est là encore un service payant au-delà des
informations et des conseils préliminaires.

Nous avons un autre service dit Salons, qui consiste à organiser des salons au Maroc ou accompagner nos adhérents dans des foires ou salons dans le monde entier en les prenant totalement en charge. On y organise pour eux des rencontres « B to B » ou entre secteurs ciblés.

 

Par ailleurs, les parcs industriels sont très importants pour la Chambre française. Elle a créé trois parcs industriels et travaille sur un 4ème.

 

A terme, ces parcs auront accueilli 500 entreprises et créé 25 000 emplois.

 

La première zone industrielle de Bouskoura affiche déjà complet, au même titre que la seconde, à Ouled Salah. La troisième, située à Settat, est en cours de réalisation pour une ouverture prévue pour septembre 2014, et la quatrième, à Berrechid, est en projet.

 

En partenariat avec le Ministère de l’Industrie, la CFCIM acquiert le terrain (à crédit), une société de gestion comptant des institutionnels, généralement des banques et compagnies d’assurances, est alors créée.  Et cette société de gestion loue le terrain ou les bâtiments prêts à l’emploi aux entreprises.

 

En plus de ces facilités d’installation dans des zones entièrement équipées, les entreprises bénéficient sur place de toute une gamme de services. Ces parcs industriels ne sont bien entendu pas du tout réservés aux entreprises françaises. Les entités qui s’y installent doivent uniquement respecter les conditions du Ministère, à savoir exercer une activité industrielle, créer des emplois et avoir une activité non polluante. Une Commission d’attribution, composée notamment de représentants du Ministère de l’Industrie et du Centre Régional d’Investissement, de la Commune, de la CFCIM,
étudie les demandes des entreprises.

 

Enfin, le dernier service est dispensé par la CFCIM à travers son Campus de formation. Ce sont plus de 600 étudiants qui en bénéficient, dont 300 à l’EFA, 300 dans les spécialités de Sup de Co Toulouse, avec possibilité de doubles diplômes. Sans parler de la formation permanente assurée par le CEFOR entreprises.

 

 

M. Sibrac, quel est votre propre bilan, celui des trois années passées à la présidence de la CFCIM ? 

 

J’ai inscrit mon travail dans la durée, j’ai passé 3 ans comme premier Vice-Président, puis 3 ans comme Président et je reste au Bureau exécutif en tant que Past-Président parce qu’aucun mandat ne peut être occupé plus de 3 ans, soit un an renouvelable deux fois.

 

C’est donc une réelle continuité dans la fonction de responsable de la Chambre. S’il y a, certes, une alternance dans la fonction, il y a une continuité dans le travail.

Sous mon mandat, la Chambre a continué à se développer, à se structurer.  En 2001, la CFCIM comptait 3200 adhérents, un peu plus de 4000 en 2012 et en 2013 on est resté à peu près à ce niveau. Avec une plus grande stabilité des adhérents car le taux annuel de déperdition (les entreprises qui arrêtent de cotiser), qui était de 15 %, est tombé à 7 %. Le taux de satisfaction des entreprises membres de la Chambre a donc augmenté.

 

D’autre part, nous avons renforcé notre développement en régions : dans chaque grande ville du Maroc, il y a une délégation de la Chambre avec un membre élu, le Délégué Régional et un permanent. Nous sommes  présents à Fès, Meknès, Tanger, Rabat, Oujda et Agadir, et nous avons mis l’accent sur l’animation des ces
Délégations.

 

Mon bilan s’est inscrit dans la continuité, le développement et l’adaptation. Nous avons consenti un effort particulier sur les régions, le développement de nos zones industrielles et la formation. La délégation de service public d’Ubifrance, dont le test avait été fait chez nous, a été validée et transposée à d’autres pays.

 

Un gros effort a été fait pour sortir un Livre Blanc sur le développement des services, leurs procédures, comment améliorer la cinquantaine de produits que l’on propose aux adhérents et en trouver d’autres dans le cadre de notre développement.

 

 

M. Sibrac, quel diagnostic faites-vous de l’économie marocaine ?

 

Je suis au Maroc depuis 12 ans et avec ce recul, je ne peux que constater des avancées remarquables, tant au niveau des infrastructures où l’effort a été
considérable, que dans celui du dialogue avec les autorités qui ont  une réelle grande écoute aux problèmes des entreprises, ou encore du développement de nouveaux secteurs d’activité comme l’aéronautique, l’automobile, des infrastructures comme Casanearshore, Tanger Med, etc. Le bilan est largement positif.

 

De même, il y a eu des efforts significatifs sur la fiscalité et les taux de l’IS ont baissé ces dernières années. Les investisseurs étrangers ont au moins deux raisons pour venir au Maroc : le marché marocain lui-même, mais aussi le marché de l’Afrique subsaharienne. Nous insistons beaucoup sur ce rôle du Maroc de plateforme pour le continent. Nous insistons aussi sur la qualité de la main d’œuvre et son aptitude à la formation. C’est ainsi, par exemple, qu’au-delà des centres d’appels, des
Back Offices, nous avons sur Casanearshore des entreprises internationales qui emploient des ingénieurs pour effectuer des développements informatiques pour leurs Groupes.

 

 

Entretien réalisé par Afifa Dassouli

Air France dévoile son nouveau fauteuil Business

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air france siege

Air France dévoile aujourd’hui son nouveau fauteuil Business. Au total, 2 102 sièges seront installés entre juin 2014 et l’été 2016 sur 44 Boeing 777, cœur de la flotte long-courrier d’Air France. Un nouveau fauteuil cocon favorisant le confort du voyageur. Il a été développé autour du concept des 3 « F » :
• Full flat – le fauteuil devient un lit parfaitement horizontal pour traverser les fuseaux horaires sans fatigue
• Full access – un accès direct à l’allée, quel que soit l’emplacement du siège dans la cabine
• Full privacy – un espace préservé grâce aux courbes du siège enveloppantes

Spécialement conçu pour Air France, ce siège a été développé en collaboration avec Zodiac Aerospace, un leader mondial de la fabrication de sièges d’avion. Son design a été réalisé par le créateur Mark Collins de Design Investment, société spécialisée dans l’univers du transport haut de gamme et Brandimage, agence conseil en design et branding.

En cabine Business, les clients disposeront d’un large écran tactile. Cet écran de 16 pouces offre une expérience de navigation inédite à bord, à l’image d’une navigation sur tablette. L’interface graphique est totalement revue et disponible en 12 langues. Les clients pourront choisir leur programme parmi 1000 heures de divertissement.

Un investissement de plus de 500 millions d’euros pour la compagnie Air France.

 

LNT

Casa Tram améliore les conditions de ses salariés

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La direction de Casa Tram vient de signer un protocole d’accord pour améliorer les conditions de ses salariés et développer un partenariat social durable avec les partenaires sociaux affiliés à l’UMT.

Ce protocole d’accord concerne la mise en place du règlement intérieur ainsi que des instances représentatives du personnel (comité d’entreprise et comité de sécurité et d’hygiène), l’organisation des élections professionnelles, la mise en place d’une couverture santé complémentaire, l’attribution de prime de panier et de tickets restaurant, l’attribution d’une prime de voyage à la Mecque pour 2015, l’augmentation de la prime Aid Al Adha, l’augmentation du nombre des jours de congés payés, etc.

Quant aux partenaires sociaux, leur engagement consiste en la sensibilisation des collaborateurs afin de diminuer le taux d’absentéisme et le nombre de retards, le respect des consignes d’hygiène, de sécurité et santé au travail, le port de la tenue complète et correcte obligatoire, ainsi que la mise en place d’une Charte de Concertation Sociale dans le but de développer un climat social serein et stable, et de permettre à l’entreprise d’assurer sa mission de service public.

LNT

PREMIUM, l’offre d’excellence de la CTM

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M. Ezzoubeir Errhaimini, Président Directeur Général de CTM.

 La CTM, qui sillonne nos routes depuis près d’un siècle, avec rigueur, respect des horaires et conduite exemplaire des chauffeurs, vient d’annoncer un nouveau service exclusif, “CTM Premium”. Il s’agit d’autocars luxe spécialement conçus pour satisfaire les voyageurs les plus exigeants.

CTM Premium signifie en fait un nouveau standard de transport, de qualité supérieure, avec une nouvelle génération d’autocars, une nouvelle identité visuelle, et un nouveau design. Le tout, bien évidemment, pour une meilleure qualité de service aux passagers.

C’est d’ailleurs dans cet esprit et ce positionnement que se place le management de CTM : « Nous sommes fiers de présenter aujourd’hui CTM Premium, une première au Maroc qui offre à nos passagers un niveau de confort encore inégalé dans notre », a en effet déclaré M. Ezzoubeir Errhaimini, Président Directeur Général de CTM.

« Ce nouveau service s’inscrit dans la continuité de la démarche d’excellence et d’innovation que nous avons initiée depuis de nombreuses années pour anticiper les besoins des voyageurs et les tendances de notre marché. Par ailleurs, avec la hausse du prix du carburant prévue à l’avenir suite à la décompensation des produits pétroliers, CTM Premium sera une alternative de voyage dans les meilleures conditions pour les voyageurs habitués à prendre leur voiture. »

A bord, les autocars dotés d’une nouvelle carrosserie, une identité visuelle propre et habillés d’un bleu métallisé élégant spécialement acquis pour ce service offrent un niveau de confort encore élevé et des prestations inédites plaçant le bien-être des passagers en tête des priorités.

Salons privés dans les agences, boissons et rafraichissements, sièges individuels en cuir plus larges et très confortables avec repose-jambes et tablettes, climatisation et lumière personnalisée ainsi qu’un réseau wifi à l’intérieur de l’autocar, tout est pensé pour faire du trajet un vrai moment de détente. Les passagers peuvent également profiter des journaux et magazines à bord.

CTM Premium revêt également un aspect écologique. En effet, les voyageurs ciblés par ce service sont habitués à effectuer les trajets interurbains en voiture. La redirection vers un transport groupé permet de diminuer l’empreinte- carbone individuelle, en plus de l’utilisation d’autocars de dernière génération respectant les normes les plus strictes en termes d’émissions de gaz à effet de serre.

Avec CTM Premium, CTM, qui célèbre cette année son 95ème anniversaire, confirme sa dimension d’entreprise dynamique et innovante, qui a su s’imposer à travers une écoute permanente de ses passagers et de leurs besoins pour leur offrir toujours plus de valeur.

Le lancement official de CTM Premium a eu lieu la semaine dernière en présence notamment du Président de FinanceCom, actionnaire principal de CTM, M. Othman Benjelloun, du Wali de Casablanca, M. Khalid Safir et du président de la Communauté urbaine, M. Mohamed Sagid.

Afifa Dassouli. 

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Entretien avec M. Ezzoubeir Errhaimini, Président Directeur Général de CTM.

La Nouvelle Tribune : M Le Président, quelles sont les raisons à l’origine du lancement d’un service PREMIUM par la CTM. Les autocars actuels ne donnaient-ils pas satisfaction ?

 M. Ezzoubeir Errhaimi : Il est important de rappeler que la CTM se distingue depuis 95 ans par la qualité de ses prestations mais également par sa capacité à innover. Cette nouvelle démarche lui permet de satisfaire une clientèle de plus en plus exigeante et d’anticiper les besoins des voyageurs et les tendances du marché. Le lancement d’un service PREMIUM répond à une volonté de lancer un service exclusif d’autocars de luxe spécialement conçus pour offrir une alternative de voyage dans les meilleures conditions pour les voyageurs habitués à prendre leur voiture ou d’autre moyens de transport.

La CTM est connue (et appréciée) depuis longtemps pour la qualité de son service, la régularité de ses courses, la qualité des conducteurs qui assurent le transport. Quel est le plus que vous voulez apporter avec le service PREMIUM ?

A bord, les autocars dotés d’une nouvelle carrosserie, une identité visuelle propre, spécialement acquis pour ce service offrent un niveau de confort encore plus élevé et des prestations inédites plaçant le bien-être des passagers en tête des priorités.
Le service prévoit également des espaces dédiés dans les agences, des rafraichissements, des sièges individuels en cuir plus larges et très confortables avec repose-jambes et tablettes, climatisation et lumière personnalisée ainsi qu’un réseau wifi à l’intérieur de l’autocar. Tout est pensé pour faire du trajet un vrai moment de détente. Les passagers peuvent également profiter des journaux et magazines à bord.
Le transport routier des passagers connaît une concurrence intense. On suppose, d’ailleurs, que les autocars de luxe ont un coût qui est supérieur à la moyenne des véhicules de ce type. Cet investissement est-il justifié dans la conjoncture actuelle, sachant, de surcroît, que l’on s’achemine vers la libéralisation totale du prix des carburants, gazole compris ?

Nous pensons, au contraire, qu’une concurrence intense nous pousse à nous distinguer des autres opérateurs à travers des offres plus innovantes. D’autre part, la conjoncture actuelle et notamment la hausse prévisible des prix du carburant présente une opportunité intéressante pour les transports en commun en général.
Par ailleurs nous estimons qu’il est de notre rôle d’apporter des solutions de transports en phase avec l’évolution du marché mais aussi de contribuer du mieux que l’on peut à rehausser les standards du transport public de voyageurs par autocar.

 

Quel segment de clientèle pensez-vous toucher avec le service PREMIUM ?


A travers notre service Premium, nous ciblons d’abord les clients fidèles de la CTM qui souhaitent monter en gamme en termes de confort, mais aussi les touristes étrangers qui représentent une part non négligeable de notre clientèle sur les routes nationales. Avec cette offre nous pensons que nous pouvons également attirer la clientèle habituée à utiliser leurs véhicules ou voyager par train ou avion.

 Le business modèle de CTM répond-il encore aujourd’hui à vos prévisions, attentes et surtout investissements antérieurs ?
La progression continue du chiffre d’affaires de la CTM au cours de ces dernières années, ainsi que la consolidation de sa solidité financière nous confortent dans notre choix de faire de la CTM une entreprise leader dans le marché, sûre, mais également rentable. En effet, nous réalisons chaque année des investissements importants pour le renouvellement de notre flotte, et nous consacrons un budget conséquent pour sa maintenance. Je rappelle, par ailleurs, que l’âge moyen de notre parc autocar est inférieur à 3 ans. Ceci étant, nous constatons, si je puis dire, un retour sur investissement intéressant, dans le sens où nous arrivons à augmenter le nombre de passagers transportés chaque année (+10% en moyenne ces deux dernières années), tout en maintenant un niveau de rentabilité tout à fait raisonnable.
Cela a-t-il du sens de considérer qu’une entreprise de transport routier, moderne, transparente, cotée en bourse possède toujours une belle marge de progression dans un environnement où la mise à niveau de la grande majorité des opérateurs du secteur n’est toujours pas réalisée.
C’est justement notre modèle économique, tel que nous l’avons évoqué plus haut, qui fait que nous gardons toujours cette longueur d’avance sur les autres opérateurs du secteur. En effet et heureusement, la CTM n’a pas attendu la réforme du secteur pour entamer sa mise à niveau. Le fait que nous soyons côtés et ce, depuis plus de 20 ans, ne constitue pas une contrainte pour nous, mais plutôt une opportunité d’amélioration continue et d’exigence managerielle. A l’aube de la réforme annoncée du secteur du transport, et à la veille de ses 100 ans, la CTM peut ainsi représenter un modèle économique intéressant pour le secteur où les maîtres mots sont : Sécurité, Qualité et Rentabilité.

Le service Premium va desservir les principales lignes du Royaume, du Nord au Sud et d’Ouest en Est. Quid des lignes transfrontalières, vers l’Europe notamment, voire l’Afrique subsaharienne, une région où les opérateurs marocains investissent et s’investissent de plus en plus ?


J’aimerais rappeler que nous lançons un nouveau produit et qui est inédit au Maroc. Les premières destinations desservies concernent uniquement les principales lignes du royaume couvertes par le réseau autoroutier à savoir Casablanca, Rabat, Agadir, Oujda et Fès. D’autres destinations seront ouvertes dans les prochaines années.
L’ouverture vers l’international n’est pas exclue. Par ailleurs concernant l’Afrique subsaharienne, nous vous rappelons que nous avons signé en Novembre 2013 des conventions avec des partenaires mauritaniens et sénégalais pour l’ouverture des lignes Casablanca Nouakchott et Casablanca Dakar. Actuellement nous sommes en phase d’obtention des autorisations.

A.D

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Encadré : Horaires et destinations

Les premières lignes CTM Premium sont des départs journaliers non stop en aller-retour, via autoroute :

Casa – Agadir :

Horaires : • Départ Casa : 15h00 et 23h59
• Retour Agadir : 11h00 et 23h59

Casa – Oujda :

Horaires : • Départ Casa : 22h00 • Retour Oujda : 22h00

Casa – Fés :

Horaires : • Départ Casa : 9h00 • Retour Fés : 14h00

Air France-KLM présente ses résultats de 2013

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Le Conseil d’administration de la société Air France-KLM, sous la présidence d’Alexandre de Juniac, s’est réuni le 19 février 2014 pour arrêter les comptes annuels de l’exercice 2013.

Alexandre de Juniac a fait les commentaires suivants: « L’année 2013 a marqué une étape importante dans le redressement du Groupe. Nous avons bénéficié de la mise en place des nouvelles conditions de travail adoptées par l’ensemble de nos collaborateurs et des projets industriels lancés dans toutes nos activités. En conséquence, en dépit d’un environnement toujours dégradé, le Groupe a retrouvé une exploitation bénéficiaire, généré un niveau élevé de cash-flow libre, et réduit sa dette au-delà des objectifs initiaux.

 

Les mesures complémentaires annoncées en octobre dernier sont mises en œuvre dans les activités moyen-courrier et cargo pour accélérer leur redressement à ce jour insuffisant. Elles porteront leurs fruits à partir du second semestre. Tout en restant focalisés sur les efforts de réduction des coûts, nous préparons également l’avenir du Groupe en lançant d’importants investissements dans le produit, aussi bien chez Air France que chez KLM, en poursuivant l’adaptation de l’offre moyen-courrier, et en consolidant notre réseau long-courrier. Grâce à la mobilisation de l’ensemble des personnels, le Groupe Air France-KLM est en train de réaliser une transformation profonde qui nous permettra de retrouver le chemin de la croissance rentable,dès 2014. »

Résultats de l’exercice et du quatrième trimestre

Feuille de résultats AF

L’évolution des taux de change a eu un impact négatif de 100 millions d’euros sur le résultat d’exploitation de l’exercice, majoritairement sur le second semestre (86 millions d’euros).

 

Le chiffre d’affaires de l’année 2013 s’est élevé à 25 520 millions d’euros contre 25 423 millions d’euros en 2012, en hausse de 2,3% à change constant (+0,4% à change courant).

 

Les charges d’exploitation ont baissé de 1,4% et étaient stables hors change. Hors carburant, les charges d’exploitation étaient quasi stables (+0.1%) à change courant, et en hausse de 0,8% à change constant. Le coût unitaire par ESKO (Equivalent Siège-Kilomètre Offert) baisse de 3,8%, et de 2% à change, prix du carburant et charge de retraite constants, pour une production mesurée en ESKO en augmentation de 1,6%. La facture carburant s’élève à 6 897 millions d’euros, en baisse de 5,2% sous l’effet d’un effet change de -3,1%, d’une baisse de 1,8% du prix du carburant après couverture, et d’une baisse de 0,4% des volumes consommés. A 7 482 millions d’euros, les frais de personnel baissent de 2,4% à change courant, et de 2,2% à change constant. A charge de retraite et périmètre constant, les frais de personnel (intérim inclus) ont baissé de 218 millions d’euros, en ligne avec l’objectif d’une baisse de 200 millions d’euros sur l’année.

 

L’EBITDA s’établit à 1 855 millions d’euros, en hausse de 33%, soit une amélioration de 461 millions d’euros. La marge d’EBITDA atteint 7,3%, en hausse de 1,8 point par rapport à 2012. Le résultat d’exploitation de l’année redevient positif de 130 millions d’euros, contre une perte de 336 millions d’euros en 2012, soit une amélioration de 466 millions d’euros.

 

Le résultat net part groupe intègre l’effet de la dépréciation d’actifs d’impôts différés pour -937 millions d’euros ainsi que les activités non poursuivies (CityJet, en cours de cession) pour -122 millions d’euros. Il s’élève à -1 827 millions d’euros contre -1 225 millions d’euros l’an dernier.

 

La dépréciation d’actifs d’impôts différés porte sur des pertes fiscales relatives à des exercices antérieurs qui étaient reconnues au bilan. Elle résulte de la prise en compte des prévisions d’activité telles que communiquées au marché en octobre 2013 ainsi que d’une visibilité réduite sur le régime d’imputation des déficits fiscaux antérieurs. En l’état actuel de la législation fiscale française, les actifs d’impôts différés non reconnus au bilan restent néanmoins disponibles, et le groupe conserve le droit de les imputer sur des profits futurs. Cette dépréciation n’entraîne aucune sortie de trésorerie supplémentaire, ni présente ni future, et n’affecte ni la liquidité ni la solvabilité du groupe.

 

Le résultat net retraité s’établit à -349 millions d’euros contre -696 millions d’euros en 2012, en amélioration de 347 million d’euros.

 

Le résultat net par action (de base comme dilué) est négatif de 6,17 euros (-4,14 euros en 2012). Le résultat net retraité par action (de base comme dilué) est négatif de 1,18 euros (-2,35 euros en 2012). Le conseil d’administration a pris la décision de ne pas verser de dividende.

 

Le chiffre d’affaires du quatrième trimestre 2013 s’est élevé à 6 123 millions d’euros contre 6 258 millions d’euros en 2012, en hausse de 0,7% à change constant (-2,2% à change courant).

 

Au quatrième trimestre, les charges d’exploitation ont baissé de 3,5% à change courant et de 1,3% à change constant. Hors carburant, les charges d’exploitation baissent de 2,1% à change courant, et de 0,9% à change constant. Le coût unitaire par ESKO (Equivalent Siège-Kilomètre Offert) baisse de 5,2%, et de 1,9% à change, prix du carburant et charge de retraite constants, pour une production mesurée en ESKO en augmentation de 1,9%. La facture carburant s’élève à 1 653 millions d’euros, en baisse de 7% sous l’impact d’un effet change de -4,8%, d’une baisse de 3,3% du prix du carburant après couverture, et d’une hausse de 0,7% des volumes consommés. Les frais de personnel reflètent l’effet des actions de restructuration en cours : ils baissent de 5,7% à 1 790 millions d’euros, et baissent de 5,5% à change constant.

 

L’EBITDA du quatrième trimestre s’établit à 381 millions d’euros, en hausse de 36%, soit une amélioration de 100 millions d’euros. La marge d’EBITDA atteint 6,2%, en hausse de 1,7 point par rapport à la même période l’an dernier. Le résultat d’exploitation du trimestre s’élève à -65 millions d’euros comparés à -152 millions d’euros l’an dernier, soit une amélioration de 87 millions d’euros.

Le groupe enregistre en résultat non courant une provision de 82 millions d’euros correspondant à la dépréciation de deux avions tout cargo.

 

Le résultat net part groupe du quatrième trimestre s’élève à -1 177 millions d’euros contre -244 millions d’euros l’an dernier. Ce montant inclut la charge de dépréciation liée aux actifs d’impôts différés mentionnée ci-dessus et -80 millions d’euros au titre des activités non poursuivies (CityJet). Retraité de ces deux éléments et des autres éléments non courants, le résultat net retraité part du groupe s’établit à -112 millions d’euros contre -126 millions d’euros au T4 2012.

 

Le résultat net part groupe (de base comme dilué) est négatif de 3,98 euros (-0,83 euros au T4 2012), et négatif de 0,38 euros sur une base retraitée (-0,43 euros au T4 2012).

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